L’Association des étudiants sages-femmes de Grenoble (AESFG) et l’Organisation nationale des syndicats des sages-femmes (ONSSF) m’ont interpellée au sujet du statut de ces professionnelles de santé à l’hôpital et des négociations menées dans le cadre du Ségur de la santé.
Dans la continuité de ma question écrite du 11 août dernier, j’ai à nouveau alerté le ministre des Solidarités et de la Santé sur la colère des sages-femmes, qui réclament d’être reconnues comme praticien de premier recours dans la périnatalité et la santé génésique des femmes et d’être intégrées dans le parcours de soin des femmes de façon visible et directe.
Il est essentiel de mieux reconnaître et valoriser cette profession, tant à l’hôpital qu’au sein de notre société.