En visioconférence avec des représentants des associations Le Choix et Ultime Liberté Isère, le 2 avril dernier, nous échangions sur la proposition de loi donnant le droit à une fin de vie libre et choisie.
J’ai bien noté les inquiétudes exprimées, notamment au sujet de la prise en considération des directives anticipées et de la formation des médecins.
Comme tous les sujets de bioéthique, la question de l’aide active à mourir nous invite à réfléchir collectivement à ce qui est souhaitable parmi ce que la science permet, tout en respectant la dignité humaine, le libre choix et l’intérêt collectif, pour mieux répondre aux attentes de notre société, qui évoluent. Pour ma part je suis favorable à une évolution de la législation actuelle.
Mobilisée sur ce sujet, je resterai attentive aux débats qui se tiendront sur ces questions prochainement.